Pour les gens qui vivent dans le Larzac (coucou au passage!), kezako une Comicon?
Tout simplement un salon de la BD, un peu comme le festival de la BD d'Angoulême, sauf que l'on y parle uniquement de BD US, de Comics donc, et de toute la culture qui va avec. Oui, de culture geek, si vous voulez, il n'empêche que c'est de la culture.
Profitons-en pour faire un petit aparté. Autant je suis fan de BD, autant je connaissais assez peu les comics, hormis quelques standards comme l'univers Marvel. J'avoue d'ailleurs sans complexe que je préfère en général les mangas (ça y est j'ai lâché 50% des lecteurs ;) ), ou la bonne BD franco-belge, comme Astérix et Thorgal.
Forcément, avide de lecture comme je suis, je profite donc d'être sur place pour combler mes lacunes, ce qui m'a d'ailleurs permis de découvrir quelques monuments. Parmi eux, citons le Sandman de Neil Gaiman qui mérite sa place au panthéon des œuvres culturelles majeures et que je mets au même niveau que du Hugo dans mon classement personnel (assez proche du sommet, donc).
Cette Comicon nous a donc permis d'apprécier l'étendue de ce que recouvre le mot Comics, et loin du cliché des héros en Spandex, c'est un domaine d'une richesse et d'une diversité incroyable que nous avons découvert. Au passage, j'ai pu me procurer (grâce à ma ptite femme qui à l'œil perçant) un exemplaire relativement rare de la série « Punisher - Born » une vision ultra-noire de la guerre du Viet-Nâm qui surprend le lecteur Européen que je suis par sa maturité.
Une Comicon, c'est évidement aussi l'occasion de voir un défilé de créatures costumées, de Stormtroopers aux uniformes plus vrai que nature (jusqu'au comlink intégré et fonctionnel). Je ne vais pas surcharger la page en mettant 42 photos, vous pouvez les retrouver sur facebook.
Enfin une Comicon, c'est aussi des stars. Et pas n'importe lesquelles Mesdames et Messieurs!
Nous avons ainsi croisé Lou Ferrigno, le premier hulk et concurrent d'Arnold S. au titre de Monsieur Univers. Le monsieur a plutôt bien vieilli, et c'est encore une bonne brutasse.
Plus fort encore (oui je sais, Lou Ferrigno, ça parle à trois d'entre vous maximum)...
Nous nous sommes retrouvés à cinq mètres de Léonard Nimoy.
Je vous sent dubitatif, alors je vous la refais.
Nous nous sommes retrouvé à cinq mètres de Monsieur Spock! \\//
Et ça, c'est complètement énorme. Je ne sais pas vous, mais moi gamin j'ai été biberonné (en cachette en général d'ailleurs) à la série Star Trek originale, alors forcément, j'étais ému comme un gosse, d'autant que le monsieur il a une sacré présence.
Mentionnons quand même qu'il fait aussi payer les autographes 65 dollars, ce qui casse un peu le mythe: je trouve ça suprêmement rat, comme s'il ne devait pas son succès à ses fans.
Bref, une super expérience (enfin surtout pour moi ^_^).
Tout simplement un salon de la BD, un peu comme le festival de la BD d'Angoulême, sauf que l'on y parle uniquement de BD US, de Comics donc, et de toute la culture qui va avec. Oui, de culture geek, si vous voulez, il n'empêche que c'est de la culture.
Profitons-en pour faire un petit aparté. Autant je suis fan de BD, autant je connaissais assez peu les comics, hormis quelques standards comme l'univers Marvel. J'avoue d'ailleurs sans complexe que je préfère en général les mangas (ça y est j'ai lâché 50% des lecteurs ;) ), ou la bonne BD franco-belge, comme Astérix et Thorgal.
Forcément, avide de lecture comme je suis, je profite donc d'être sur place pour combler mes lacunes, ce qui m'a d'ailleurs permis de découvrir quelques monuments. Parmi eux, citons le Sandman de Neil Gaiman qui mérite sa place au panthéon des œuvres culturelles majeures et que je mets au même niveau que du Hugo dans mon classement personnel (assez proche du sommet, donc).
Cette Comicon nous a donc permis d'apprécier l'étendue de ce que recouvre le mot Comics, et loin du cliché des héros en Spandex, c'est un domaine d'une richesse et d'une diversité incroyable que nous avons découvert. Au passage, j'ai pu me procurer (grâce à ma ptite femme qui à l'œil perçant) un exemplaire relativement rare de la série « Punisher - Born » une vision ultra-noire de la guerre du Viet-Nâm qui surprend le lecteur Européen que je suis par sa maturité.
Une Comicon, c'est évidement aussi l'occasion de voir un défilé de créatures costumées, de Stormtroopers aux uniformes plus vrai que nature (jusqu'au comlink intégré et fonctionnel). Je ne vais pas surcharger la page en mettant 42 photos, vous pouvez les retrouver sur facebook.
Enfin une Comicon, c'est aussi des stars. Et pas n'importe lesquelles Mesdames et Messieurs!
Nous avons ainsi croisé Lou Ferrigno, le premier hulk et concurrent d'Arnold S. au titre de Monsieur Univers. Le monsieur a plutôt bien vieilli, et c'est encore une bonne brutasse.
Plus fort encore (oui je sais, Lou Ferrigno, ça parle à trois d'entre vous maximum)...
Nous nous sommes retrouvés à cinq mètres de Léonard Nimoy.
Je vous sent dubitatif, alors je vous la refais.
Nous nous sommes retrouvé à cinq mètres de Monsieur Spock! \\//
Et ça, c'est complètement énorme. Je ne sais pas vous, mais moi gamin j'ai été biberonné (en cachette en général d'ailleurs) à la série Star Trek originale, alors forcément, j'étais ému comme un gosse, d'autant que le monsieur il a une sacré présence.
Mentionnons quand même qu'il fait aussi payer les autographes 65 dollars, ce qui casse un peu le mythe: je trouve ça suprêmement rat, comme s'il ne devait pas son succès à ses fans.
Bref, une super expérience (enfin surtout pour moi ^_^).