Résumé des épisodes précédents: Je me suis déjà amusé, voir indigné, de la tendance américaine du "toujours plus", spécialement dans le domaine de la nourriture.
Je ne vous apprends surement rien: pour un américain, il est presque aussi important de beaucoup manger que de bien manger, et on a d’ailleurs parfois l’impression que les deux sont interchangeables.
Avant d’aller plus loin, petite précision: ne vous méprenez pas, on peut très bien manger à Seattle. La cuisine est de plus extrêmement variée : on est très loin du stéréotype français «cuisine américaine = fast-food» et on trouve une variété impressionnante d’influences culinaires étrangères, particulièrement asiatique d’ailleurs, côte Ouest oblige.
Ceci étant, le phénomène « Super Size Me » est bien réel.
Je n'avais jamais trouvé d'exemple imagé qui puisse donner une idée de la taille imposante des portions et ça commençais à me courir sur le haricot (j’ai des soucis grave dans la vie, je sais). Je pourrais vous dire que j’ai une réputation de morfale, que ma très chère mère redoute mes visites rapport au vidage en règle du frigo qui s’ensuit et que je suis néanmoins plus qu’intimidé par les portions locales, mais vous ne me croiriez pas forcément.
Et puis récemment on m’a emmené manger chez « Gorditos », littéralement « Les grassouillets » en espagnol, une petite cantine mexicaine de Greenwood fort sympathique, qui m’a enfin permis de faire la photo que je cherchais depuis quelques mois.
Combien pour un tel burrito (sur lequel j’ai mangé pendant deux jours, soit dit en passant), je vous le demande ma bonne dame?
Pas 15, pas 10, mais bien 7$. 5 euros. Elle est pas belle la vie?
Pour finir sur une note un peu plus sérieuse, je cherche actuellement un travail, dans le domaine de l’informatique, internet web et mobile, en temps que développeur et/ou manager. Je vous remercie d’avance de me contacter (via facebook par exemple) si vous avez des contacts à Seattle qui sont intéressés par mon profil (que je peux développer par mail le cas échéant).
Voilà, ça c’est fait.
Ce post est dédicacé à Niluje, ce burrito mon pote, je te défie de le finir.
Je ne vous apprends surement rien: pour un américain, il est presque aussi important de beaucoup manger que de bien manger, et on a d’ailleurs parfois l’impression que les deux sont interchangeables.
Avant d’aller plus loin, petite précision: ne vous méprenez pas, on peut très bien manger à Seattle. La cuisine est de plus extrêmement variée : on est très loin du stéréotype français «cuisine américaine = fast-food» et on trouve une variété impressionnante d’influences culinaires étrangères, particulièrement asiatique d’ailleurs, côte Ouest oblige.
Ceci étant, le phénomène « Super Size Me » est bien réel.
Je n'avais jamais trouvé d'exemple imagé qui puisse donner une idée de la taille imposante des portions et ça commençais à me courir sur le haricot (j’ai des soucis grave dans la vie, je sais). Je pourrais vous dire que j’ai une réputation de morfale, que ma très chère mère redoute mes visites rapport au vidage en règle du frigo qui s’ensuit et que je suis néanmoins plus qu’intimidé par les portions locales, mais vous ne me croiriez pas forcément.
Et puis récemment on m’a emmené manger chez « Gorditos », littéralement « Les grassouillets » en espagnol, une petite cantine mexicaine de Greenwood fort sympathique, qui m’a enfin permis de faire la photo que je cherchais depuis quelques mois.
Combien pour un tel burrito (sur lequel j’ai mangé pendant deux jours, soit dit en passant), je vous le demande ma bonne dame?
Pas 15, pas 10, mais bien 7$. 5 euros. Elle est pas belle la vie?
Pour finir sur une note un peu plus sérieuse, je cherche actuellement un travail, dans le domaine de l’informatique, internet web et mobile, en temps que développeur et/ou manager. Je vous remercie d’avance de me contacter (via facebook par exemple) si vous avez des contacts à Seattle qui sont intéressés par mon profil (que je peux développer par mail le cas échéant).
Voilà, ça c’est fait.
Ce post est dédicacé à Niluje, ce burrito mon pote, je te défie de le finir.
Woot il est tard pour moi la, je vais faire des cauchemards
RépondreSupprimerIl est vrai que je suis au régime en ce moment, donc en théorie je devrais dire : "Non, c'est fini tout ça pour moi..." Mais, dans la pratique, je tenterai bien le coup :)
RépondreSupprimerun commentaire supprimé pour cause de bourde
RépondreSupprimerhey niluje, wai c'est ce que je vois,) mais bon, un régime est fait d'exceptions (ou pas)