"Guys, something is not right".
Je me cramponne à mon bureau, couvert de sueur. Une seule pensée en tête:
"NepastomberNePastomberNeputainpastomberPutain..."
- Dude, you're green, I'm calling the nurse."
Putain, ça tourne... "GrouilleGrouilleGrouilleGrouuuuuuilllle"
"Oh she's not here anymore. Do you want to lay down for a while?
- Uh, hey, I can't think dude, can you babysit me please? I'm gonna faint.
- Oh boy. I'm taking you to the milking room."
Flashback, 30 minutes avant.
"Are you allergic to anything?
- Brussel sprouts, but I don't think it's relevant.
- No it's not. Ok, in some cases people have an allergic or violent reaction to the flu shot. I want you to ask somebody to watch over you for the next 30 mins.
- Ok m'am. Will do.
- If anything isn't right, come see me, I have epi and everything needed in case of an emergency.
- Oh, it's scary!
- Don't worry, it's very rare."
Rare, my french ass. I'll be there for you, my french ass derechef.
Et oui, j'ai décidé de tester pour vous le vaccin H1N1, offert gracieusement par ma boite. Vaccin qui m'a littéralement cassé en deux, et qui m'a accessoirement permis de passer une heure à dormir dans la salle de lactation de ma boite, ça ne s'invente pas.
Bon je ne vais pas rentrer dans la polémique sur les vaccins toussa, les gens qui disent que c'est le MAÂL sont bien content de pas crever du tétanos au moindre bobo mais passons, je n'ai rien dit.
J'ai quand même comme qui dirais un doute sur l'équation « vaccin=malade trois jours, grippe=malade quatre jours », mais encore une fois, pas de polémique, ça fait un post de blog gratuit.
Bref, tout ça pour vous dire que entre ça et le jetlag, je n'ai pas vraiment eu l'énergie nécessaire pour critiquer les Parisiens comme je vous l'avais promis. Ce n'est que partie remise.
Parlons du jetlag un peu d'ailleurs (je suis d'humeur plaintive, l'infirmière me manque).
9h aller, 9h retour, et reprendre le boulot cash, ce n'est pas la meilleure idée qu'on ai eu. Pour vous donner une idée de l'ampleur du décalage, quand je vais me coucher, vous êtes en train de vous lever. Quand vous partez du boulot, nous vient d'arriver. Quand Julien change les couches de son bébé, je suis en train de déjeuner (et il me décrit l'opération, le sauvage... bon appétit bien sur!).
Bref, ça fait quand même un putain de choc et même si dès le premier jour on à l'impression d'être à l'heure et ben dans les faits c'est assez loin d'être le cas, croyez moi. D'autant plus quand on bosse.
Du coup ça plus ce satané vaccin, ça m'a un peu rotulisé. Promis, cette semaine, on reprend un activité normale.
Je me cramponne à mon bureau, couvert de sueur. Une seule pensée en tête:
"NepastomberNePastomberNeputainpastomberPutain..."
- Dude, you're green, I'm calling the nurse."
Putain, ça tourne... "GrouilleGrouilleGrouilleGrouuuuuuilllle"
"Oh she's not here anymore. Do you want to lay down for a while?
- Uh, hey, I can't think dude, can you babysit me please? I'm gonna faint.
- Oh boy. I'm taking you to the milking room."
Flashback, 30 minutes avant.
"Are you allergic to anything?
- Brussel sprouts, but I don't think it's relevant.
- No it's not. Ok, in some cases people have an allergic or violent reaction to the flu shot. I want you to ask somebody to watch over you for the next 30 mins.
- Ok m'am. Will do.
- If anything isn't right, come see me, I have epi and everything needed in case of an emergency.
- Oh, it's scary!
- Don't worry, it's very rare."
Rare, my french ass. I'll be there for you, my french ass derechef.
Et oui, j'ai décidé de tester pour vous le vaccin H1N1, offert gracieusement par ma boite. Vaccin qui m'a littéralement cassé en deux, et qui m'a accessoirement permis de passer une heure à dormir dans la salle de lactation de ma boite, ça ne s'invente pas.
Bon je ne vais pas rentrer dans la polémique sur les vaccins toussa, les gens qui disent que c'est le MAÂL sont bien content de pas crever du tétanos au moindre bobo mais passons, je n'ai rien dit.
J'ai quand même comme qui dirais un doute sur l'équation « vaccin=malade trois jours, grippe=malade quatre jours », mais encore une fois, pas de polémique, ça fait un post de blog gratuit.
Bref, tout ça pour vous dire que entre ça et le jetlag, je n'ai pas vraiment eu l'énergie nécessaire pour critiquer les Parisiens comme je vous l'avais promis. Ce n'est que partie remise.
Parlons du jetlag un peu d'ailleurs (je suis d'humeur plaintive, l'infirmière me manque).
9h aller, 9h retour, et reprendre le boulot cash, ce n'est pas la meilleure idée qu'on ai eu. Pour vous donner une idée de l'ampleur du décalage, quand je vais me coucher, vous êtes en train de vous lever. Quand vous partez du boulot, nous vient d'arriver. Quand Julien change les couches de son bébé, je suis en train de déjeuner (et il me décrit l'opération, le sauvage... bon appétit bien sur!).
Bref, ça fait quand même un putain de choc et même si dès le premier jour on à l'impression d'être à l'heure et ben dans les faits c'est assez loin d'être le cas, croyez moi. D'autant plus quand on bosse.
Du coup ça plus ce satané vaccin, ça m'a un peu rotulisé. Promis, cette semaine, on reprend un activité normale.
bof, il y a les bons vaccins et les mauvais.
RépondreSupprimercelui là parait vraiment mauvais.
moi j'ai fait celui de la grippe saisonnière, mais pas la porcine.
con ou pas? ;o)
cheers!
Fab
p.s. très mauvais = ce n'est pas mon avis à moi = adjuvants merdiques, fait à la bourre, pas assez testé, etc.
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